Un imposteur devenu dictateur

Temps de lecture : 7 minute(s)

Toujours en retard d’une guerre ou deux, les anti-fascistes en France ne savent regarder que dans le rétroviseur.  Cherchant qui, en 2020, évoque Déroulède ou Maurras, Franco, Mussolini, Salazar, Juan Peron ou Pinochet. Sans voir que le fascisme est incarné sous leurs yeux par un personnage d’une apparence fade, redoutablement trompeuse.

Depuis 2017, tous les marqueurs du fascisme sont là

Des voyous dans les allées du pouvoir, dotés d’accréditations protocolaires. L’intervention constante de l’exécutif dans le judiciaire. L’Etat de Droit devenu la courroie de transmission des caprices du Prince. Et le monopole de la vérité officielle avec la violence et la barbarie pour terroriser les opposants politiques, on a vu les milices lâchées contre les gilets jaunes.

S’y ajoutent la mise à mal des libertés publiques en faisant de chaque maison une prison et de chaque flic un maton, puis la muselière pour tous avec un quadrillage  du territoire jamais envisagé contre les terroristes. Sans oublier la tentative d’instaurer une dictature numérique sous-traitée à des mercenaires étrangers, retoquée par le Conseil Constitutionnel…  Mais pas abandonnée puisque le conducator envisage d’imposer un texte identique par le biais des recommandations européennes.

Dernière mesure liberticide : La prolongation artificielle d’une crise sanitaire afin de pouvoir continuer à contrôler les déplacements des gens, leur interdire le droit de se réunir et de manifester, et les maintenir dans une terreur qui les paralyse, quand un collectif de plusieurs dizaines de médecins, biologistes, pharmaciens et scientifiques de renom, publie une tribune contre les délires dictatoriaux du  roitelet.

Le fascisme était-il inéluctable ?

Dès le départ, Macron ne tournait pas rond. Son élection sous pressions était de la petite bière. Tandis que  les médias main stream  inféodés aux banksters du NWO le faisaient mousser : Modernité, compétence, dynamisme, probité.   Des euphories de cuite avant la décrue.  Reconnaissant (ou prudent) il augmentera sensiblement les subventions allouées aux médias stipendiés, commanditaires de decodex temple de la  vérité révélée, allié indispensable pour brouiller des cartes biseautées lors de la crise sanitaire,  jusqu’à leur allouer en août 2020 une enveloppe exceptionnelle de 483 millions d’euros, en plus des versements habituels.
 
Bon moyen de tenir des journalistes serviles, les uns sans talent ni lecteurs, les autres habitués au public captif des chaînes sous tutelle. Pour la plupart des individus médiocres qui, sans ce pactole, se retrouveraient au chômage, sans aucune chance de se recycler ailleurs. Entouré au mieux d’amateurs (une repentie témoigne) au pire de voyous, confiant à son épouse le soin de recruter à des postes clés (sur quels critères ?), dépassé par les événements, ne sachant répondre au peuple que par la menace et la  violence, faisant condamner lors de procès expéditifs les Gilets Jaunes rougis du sang que sa milice a fait couler… Avant d’assigner les gens honnêtes à domicile comme des voyous quand les prisons relâchent par milliers des délinquants dangereux, parce que ce velléitaire inapte à la fonction n’avait pas su ou pas voulu prendre les bonnes décisions au début de la crise sanitaire.
 
Et quand 53 pays lui apportent un démenti cinglant, en affirmant que l’hydroxychloroquine a sauvé des milliers de vies et aurait pu en sauver bien davantage sans les polémiques entretenues autour du professeur Raoult pour complaire à Big Pharma, il esquive, regarde ailleurs, parle d’autre chose, puis autorise discrètement le « poison » qu’il avait interdit.
 
Du début à la fin, le règne de cet histrion aura été une tragique mascarade. Par un déni systématique de leurs échecs érigé en mode de gouvernement, ce psychopathe et ses loufiats expliquent les « bonnes raisons » pour lesquelles ils ont détruit des vies, des emplois, des milieux socio-professionnels, puisé dans les caisses, menti, triché, truqué, servi leurs amis, manipulé les institutions et ruiné leurs adversaires. Ils assurent, le torse bombé, le menton relevé et le regard glacial, mimant inconsciemment Mussolini, que c’était « pour préserver l’avenir, vous finirez par comprendre… » Avec le rictus qui va bien sous-entendant : « Vous l’auriez déjà compris si vous étiez moins nuls !»
 
Par la suite, pas du tout complexés par l’étalage de leur impéritie, le conducator et ses sbires compissaient l’Etat de Droit en permettant à des « émeutiers émotifs » indigénistes, identitaires ou islamistes de s’affranchir des lois de la République…   Après avoir tenté vainement de sous-traiter la censure à une webstapo de cyber-mercenaires, meilleur moyen de clouer le bec des opposants.
 
Condamnant à l’ostracisme et à la mort sociale quiconque le contrarie, il a restauré le bon plaisir du roi et l’arbitraire du prince, au point de faire persécuter par sa milice des braves gens qui s’étaient permis d’afficher des slogans critiques envers Sa Grandeur… Une tâche qui ne rebute pas ses sbires, zélés au point d’arrêter le 14 juillet 2020 un homme qui avait osé s’adresser au roitelet sans passer par le protocole ! À comparer avec leur inertie honteuse (sur ordre du caudillo ?) face aux 120 à 150 agressions et crimes de sang perpétrés chaque jour.  Mais il est moins dangereux et plus juteux de serrer un porteur de pancarte qui conteste la muselière pour tous, que de traquer les racailles qui se sont emparées de la rue.

Jusqu’à Macron, les dictatures fascistes s’installaient en montrant leur force et en pratiquant l’intimidation et la violence avant  d’arriver au pouvoir.  Lui a attendu d’y être installé pour découvrir sa vraie nature tout en surjouant le  numéro du fascisme BCBG à visage humain. Avec des propos mielleux masquant son air chafouin et une emphase rhétorique pour enrober son hystérie, ce caractériel psychopathe a détourné les institutions verticales de la Vème république pour faire de la France un royaume d’Ubu Roi sous la férule de ses tontons macoutes.

Croyant combattre un fascisme fantasmé, les Français ont offert le pouvoir à un fasciste avéré, qui envisage de reporter des élections régionales que ses féaux sont sûrs de perdre, en échange de quelques prébendes.  Attitude logique chez ce despote frimeur inventeur du fascisme clinquant en claquant près d’un million d’euros soutirés dans la poche des Français pour faire recouvrir son bureau de feuilles d’or.

Finalement le masque anti-virus pour tous est le symbole pathétique de ce pouvoir qui, dès son irruption en politique, a avancé comme un bandit masqué.  Dissimulant sous des flonflons de fête foraine ses appétits féroces de domination.  Recouvrant d’un vernis de bienveillance feinte une violence inouïe contre les Gilets Jaunes.  Déguisé en défenseur de l’unité nationale afin de satisfaire les objectifs de ses sponsors du NWO  : Disloquer la Nation France pour la réduire à une succursale des banksters. Ce qui implique de remplacer une population attachée à son terroir et à ses traditions par des prédateurs vagabonds et sans racines que seul le fanatisme religieux réunit.

Un transparent succède à un insignifiant.

Macron qui n’a pas la carrure pour porter l’habit de président a l’air engoncé dans sa tenue d’imperator. Pour que ça se remarque moins, il s’entoure de nullités authentiques et d’arrivistes flagorneurs se complaisant dans leur numéro de loufiats.  Laquais ringards ou jeunes loups édentés, aucun ne doit faire de l’ombre au conducator en affichant des compétences et une intelligence supérieures à la sienne.  Quel que soit le remaniement, c’est la règle d’or !  Edouard Philippe a été éjecté du jour où il a commencé à se prendre pour un premier ministreComme tous les psychopathes, le despote a une appétence marquée pour la mise en scène à condition de tenir le premier rôle. Ceux qui lui donnent la réplique doivent être de simples figurants lui servant de faire-valoir.
 
Les cours de théâtre donnés par Brigitte quand il avait 15 ans ont renforcé cet égotisme naturel. Comme il s’attend à des standing ovations, lorsqu’il a affaire à des interlocuteurs moins flatteurs que ses courtisans habituels, le dialogue se résume à des moments de grande fébrilité suivis de crises d’hystérie.   Le monologue où il ne risque pas d’être contredit a sa préférence.  En outre, à la différence des managers talentueux qui savent animer une synergie des compétences, Manu s’affirme comme le  roi du casting à contre-emploi : Le bi-national Eric Dupond-Moretti avocat d’Abdelkader Merah et des Balkany à la justice, la folklorique Roselyne Bachelot animatrice de télé réalité à la culture, la féministe engagée Marlène Schiappa associée à Gérald Darmanin accusé de viol, promu premier flic de France, et un certain Olivier Dussopt visé par une enquête de l’Office central de lutte contre la corruption nommé ministre des comptes publics.   On imagine sans peine la jubilation du gamin provocateur que Manu est resté en nommant des personnalités aussi clivantes dans son gouvernement de grouillots encadrés par un sous-chef de bureau.

Le bal des vampires

Le sociopathe s’est entouré de comparses à son image. Des individus monstrueux, inhumains, totalement dénués d’empathie, sûrs et satisfaits d’eux mêmes, qui arborent le sourire odieux du travail bien fait à n’importe quel prix.

Les éborgnés et les mutilés, les gens qui triment et qui souffrent, ceux qui s’étouffent dans le bouillon de culture d’un masque à l’efficacité douteuse, ils ne veulent pas savoir que ça existe.  D’ailleurs en dehors de leur caste, il n’y a que des sous-hommes. Des « riens du tout » sans intérêt.  « Ne me parlez pas de répression ou de violences policières, ces mots sont inacceptables » dira le conducator avant de conclure, péremptoire : « Je ne suis pas un dictateur ! »  Confronté à un tel déni de la réalité par des « personnes ordinaires », n’importe quel psychiatre ferait interner les auteurs de telles violences réellement commises et virtuellement effacées. Sans le moindre remords parce qu’il s’agissait à leurs yeux de faits sans importance.  Comme ces loups garous de légende qui, une fois recouvrée leur forme humaine, oublient leurs victimes et reprennent leur petit train train quotidien.

>> Article original paru sur Nouveau Fascisme Français

avatar

Christian Lojacono (Clojac)

Un peu Maori (ici on dit Ma'ohi) par ma grand-mère, je suis revenu en Polynésie sur un voilier, finissant par me fixer à terre après avoir visité de nombreuses îles. Cadre de gestion dans une autre vie, la retraite m'autorise à renouer avec une passion de jeunesse longtemps mise entre parenthèses : L'ethno-anthropologie. Pratiquée sur place tout naturellement, mais aussi en portant sur la métropole le regard distancé d'un observateur extérieur souvent surpris, parfois amusé ou agacé, mais jamais indifférent.

12 réflexions sur “Un imposteur devenu dictateur

  • avatar
    29 septembre 2020 à 02:50
    Permalien

    bonsoir clojac ,
    encore un article brillant , la « webstapo » est une triste realité
    je crois meme qu ‘on as trouvé un nid tellement ca sort de partout sous le pillonage 🙂
    le plus drole , ca as été de de sucer donatien , il l’ as eu toute bleu deux soir de suite ,
    obligé de fouiller dans ses log pour trouver les moutons a sacrifier a « sol-invictus » …

    que ne ferais t’ on pas pour la legion qui REM et rame quan on est servile sous des atour de rebel .

    A+

    CYRUS

  • avatar
    29 septembre 2020 à 16:18
    Permalien

    Parfait,tout est dit!!!

    • avatar
      29 septembre 2020 à 17:23
      Permalien

      Merci pour cette critique aussi positive que concise 🙂 L’auteur a une sacrée plume, surtout quand on sait que son encre c’est 10% de colorant naturel et 90% d’acide sulfurique concentré.

  • avatar
    29 septembre 2020 à 17:07
    Permalien

    C’est donc ça le nouveau fascisme…
    C’est a priori très confus et particulièrement indigeste…
    Une sorte de gloubi boulga dans lequel on peut mixer à peu près tout ce qu’on veut… de préférence ce qui restait encore au frigo et qui, hors mixture, aurait été immangeable…
    D’ailleurs, je m’aperçois que quelques uns ce sont goinfrés avant moi…
    Je veux bien leur laisser ma part de nouveau fascisme…
    Je reste sur ma recette traditionnelle…
    Rien de tel qu’un bon vieux benito glacé en été… là, au moins, on sait ce qu’on mange…

    • avatar
      29 septembre 2020 à 17:21
      Permalien

      Salut Assouline,

      T’as décidé d’économiser les IP de ton VPS pour les réserver à des faux comptes sur Agx? Sur le fond : je trouve au contraire que les articles écrits par Christian sont toujours d’une limpidité extrême, ce qui rend ses critiques particulièrement efficaces. Tout le monde n’a pas cette sorte de talent.

    • avatar
      29 septembre 2020 à 19:48
      Permalien

      Il n’ y pas de nouveau ou d’ ancien fascisme , il n’ y as de tout temps que le totalitarisme
      qu’ il soit aristocratique , comuniste , fasciste , islamique ou …sanitaire cela importe peu .

      RElit ce texte , tu l’ as surement mal compris .

  • avatar
    1 octobre 2020 à 23:55
    Permalien

    Merci de ne pas comparé continuellement entre les personnes qui vivent malgré eux et non par choix dans les ghettos banlieue cette population a qui on refuse des emplois des logements décents en pratiquant la sécrétion dont l’État et les personnes qui ce prétend française construit le racisme grace au état véreux et déshumanisant qui profite de ses constructions de rôle depuis des siècles par des commerce et lobbys , politique viscéralement cruel et criminel cette pratique qui a toujours existé vous avais l’impression de la découvrir car votre vie personnel d’humains était dans une illusion de supériorité et protection en rejetant la faute sur les autres ? les autres que la police contrôle constamment les autres qui sont stigmatisé des leurs premiers pas dans un établissement scolaires ou professionnel les autres que les politiques et médias utilisent en créant des faux témoignage pour pouvoir tuer en toute impunité ces humains dont les ancêtres ont construit chaque pays occidentaux et payé de leur vie alors oui les autres aujourd’hui tu leur ressemble car tu comprend le rôle illusoire du vote des impôts des taxes de la maltraitance de la compétition de la division qui existent depuis des siècles alors SVP faite une critique constructive pour l’humanité mais pas de comparaison qui servira encore et encore nos bourreau de jésuite de sectes Franc-maçons du Nouvel Ordre mondial tout est dit dans ces trois mots N O M
    soyons soudé par la lumière de la vie et non les ténèbres et la peur et division
    vive les gens lucides et de bon sens l’instruction peut vous détruire quant elle programme votre pensé
    Très cordialement vive la vie sereine quel soit longue ou courte

    yb

    • avatar
      2 octobre 2020 à 20:27
      Permalien

      Je me permets de répondre pour l’auteur qui se trouve être un ami : il viendra me botter les fesses si je raconte des conneries. Il est lui même Maori d’origine, et je pense que la vie en métropole lui aura vite appris que les Français ne sont pas tous égaux, une fois sorti du discours politique. Il est acerbe, mais ceci vise d’abord le pouvoir, et il croît que l’émancipation vient avec le savoir qui libère. La république n’est vraiment égalitaire que lorsqu’il s’agit de tondre les masses laborieuses. J’apprécie cet auteur parce qu’il a une vision claire de ce qui se trouve devant nous, et il parvient à le rendre en quelques mots comme un caricaturiste vous tire le portrait d’un politicien véreux en trois coups de fusain.

      Comme vous le dites, c’est dans l’unité que résidera notre salut, ou à défaut, notre mise en esclavage.

      • avatar
        19 octobre 2020 à 14:21
        Permalien

        parler d’Egalité, c’est rejoindre la doxa qui si on lui parlait d’Equité finirait dans les poubelles de l’histoire… le fascisme justement est ce qu’on appelait avant « l’économie Planifiée » : le planisme.. le Planisme est le socle commun des communistes et des fascistes, la seule différence entre ses deux théories, c’est que la première fait vivre l’état en spoliant l’état, et la seconde fait vivre l’état en spoliant l’état… mais leur point commun, c’est le keynésianisme.. c’est là où se rejoint la gauche de la gauche et la droite de la gauche.. les deux avançant main dans la main pour le capitalisme financier.. ni de droite ni de gauche c’est Keynes qui en parle le mieux : interventionnisme (gauche, public..) et corporatisme (droite, privé… ) pour arriver à une France dirigée par des mégalos friands de partenariats public/privé…

  • avatar
    17 octobre 2020 à 17:29
    Permalien

    Bonjour ,
    Galbraith , auteur de la grande crise de 29 , raconte ceci ….
    Il était évident au moins pour une minorité éclairée de financiers que « l’hystérie boursière » d’avant la crise et l’hyperlibéralisme ,allaient déboucher sur la catastrophe ….
    « Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel  » comme on dit populairement ….
    D’ailleurs toutes les bourses du monde étaient en lien avec wall street ….
    Les gens empruntaient pour spéculer …..
    La majorité des médias de l’époque étaient aux mains des acteurs financiers privés qui encourageaient fortement la spéculation u jusqu’au bout.D’ailleurs il n’y avait pas de bout en vue ça tenait du miracle …. »enrichissez vous gratos! »
    Ceux qui mettaient en garde , les rabats joie , étaient décriés ,rejettés, traités de communistes, ce qui aux USA avait un sens plus que particulier ….
    Et puis pouf : le crack boursier .
    Le grand plongeon , l’immense panique pour une majorité .
    Des millions de gens , de familles plongées dans la mouise , la famine , aux US et dans le monde entier avec un chômage exponentiel ;. Lire entre autre Steinbeck et revoir les temps modernes de Charlie Chaplin ….
    Voilà, voilou .
    Cdt.
    Cr.

  • avatar
    23 octobre 2020 à 22:11
    Permalien

    Je vais remonter bien plus loin et en faire sourire plus d’un comme j’avais fait sourires quelques copains (qui ont depuis un peu modifié leur réflexion) quant je leur avais dit que l’obligation du port de la ceinture sous peine de contravention marquait l’émergence d’une fascisation rampante de notre société (car, contrairement au port du masque, dont on peut éventuellement estimer qu’il pourrait protéger votre entourage de vos microbes, rien de tel pour la ceinture). Mais depuis, la fascisation a atteint un tout autre niveau en étant étatisée pour répandre un régime ayant peu à envier à celui de Vichy, le Con-duc-à-tort, allant jusqu’à imiter Pétain en offrant une « zone transfrontalière » à l’Allemagne. Lois d’exception, policiers-miliciens, magistrats et fonctionnaires serviles: on peut matraquer, mutiler, emprisonner…pour délit d’opinion ! Je suis obligé d’avouer une fois de plus, comme je le fais dans presque tous mes commentaires: quand je désignais le clan squattant le pouvoir (« Sors d’ici Jean Moulin ») comme les « nouveaux collabos » de la nouvelle « souveraineté européenne », je faisais encore preuve de naïveté.
    Méc-créant.
    (Blog: « Immondialisation: peuples en solde! » )

    • avatar
      23 octobre 2020 à 22:22
      Permalien

      Salut Mec-dréant

      Tu sais tu peux poster des liens, ici, je l’ai d’ailleurs ajouté à ton post. Ici on est entre amis, on discute, on informe et on propose, pas besoin d’être toujours d’accord, il suffit qu’on reste courtois et qu’on ne tape pas en-dessous de la ceinture 🙂

Commentaires fermés.